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Une autre histoire de la laïcité, by Jean-François Chemain
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Détails sur le produit
Broché: 238 pages
Editeur : Via Romana (17 octobre 2013)
Langue : Français
ISBN-13: 979-1090029644
ASIN: B00DGRTW7G
Dimensions du produit:
20,5 x 1,8 x 13,5 cm
Moyenne des commentaires client :
4.1 étoiles sur 5
6 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
215.411 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Pour Alexis de Tocqueville, la république démocratique a besoin, plus que tout autre régime politique, du secours de la religion, particulièrement de la religion catholique, pour lutter contre le règne des besoins, le relativisme., l'individualisme, et l'étroitesse de vue de la tyrannie de l'opinion publique. Ce livre décrit le péché originel de la république française: avoir voulu soumettre la religion catholique à l'Etat ou chercher à la faire disparaître. Soumettre le citoyen à l'Etat et écraser sa liberté. Voilà un auteur courageux et objectif qui ne cache pas certaines erreurs de la religion catholique.
excellent ouvrage très utile compte tenu de l'utilisation actuel du mot laïcité trop souvent utilisé comme concept de lutte par les auro-proclamés "antireligieux".
Passionnant, tres bien argumenté sur de tes nombreuses sources historique. Cet auteur qui vit ce qu il dit et dit ce qu il vit est décidément tres bien inspiré !
Un livre courageux, très clair qui renverse toutes les idées reçues dont les médias ne cessent de bourrer nos crânes pour nous détourner de l'Eglise (à commencer par notre ministre de l'éducation qui a dit au cours d'une rencontre avec des journalistes: "il faut tuer l'Eglise Catholique, c'est le grand obstacle pour établir une vraie laïcité"
Dans son livre «Une autre histoire de la laïcité» Jean-François Chemain décortique la légende des Lumières (colportée jusqu'aujourd'hui), selon laquelle l'Eglise catholique – l'«Infâme» - se soit emparée de l'Etat pour le dominer. Il montre de façon pertinente et en multes détails que c'était, au contraire, en règle générale l'Etat qui - depuis Constantin le Grand jusqu'á Napoléon (trop souvent assisté par des evêques opportunistes) - s'est servi de l'Eglise pour sacraliser son pouvoir.Chemain rapelle aussi le fait peu connu que l'Eglise catholique, soutenue par l'École jésuite de Salamanque, a rejeté l'idée de l'origine divine du pouvoir royal.La répression étatique sur l'Eglise est illustrée par une multitude d'exemples [entre autres celui de Charlemagne qui a incendié, voire réprimandé, le pape Léon III].Un livre important pour remettre correctement en place un faux mythe.Baltasar, Munich (Allemagne)
Comme tous les idéologues, les libéraux souffrent de graves illusions d'optique sous l'effet desquelles ils croient apercevoir leurs idées dans les lieux, les époques et les personnages les plus insoupçonnés. Philippe Fabry nous proposait récemment de voir sous les traits de la vieille république romaine une chaste vierge libérale qui serait, hélas, évincée par la Grande Prostituée socialo-impériale ; cette fois, dans "Une autre histoire de la laïcité", c'est au tour d'un historien reconverti consultant puis cadre de grosse entreprise, avant de finir dans un collège de ZEP, de nous dévoiler le secret ultime de l'Eglise : avant Adam Smith et John Stuart Mill, l'épouse du Christ luttait déjà bec et ongles contre l'abominable étatisme (l'Etat, on le sait, est le bouc émissaire des libéraux).Soyons sérieux. La vérité est l'exact opposé de cette thèse. Pour nous en persuader, retraçons à grands traits l'histoire de l'Eglise : une petite secte juive dans un judaïsme qui en comptait à foison, et dont les membres s'appellent "les adeptes de la Voie", sous la direction dynastique de Jacques le Juste, frère de Jésus dit le "Christ", se répand rapidement sur le portour de la Méditerranée et s'implante même à Rome. Grâce au génial Paul de Tarse, elle se débarrasse des rites et interdits encombrants de la loi mosaïque et convertit des païens. Le Christ de Paul n'est plus le roi des Juifs, mais le Pantocrator.D'abord regardés avec une indifférence mêlée de mépris comme tous les innovateurs, les "chrétiens" finissent par être durement persécutés par le pouvoir politique : les disciples du Nazaréeen étaient en fait l'équivalent des révolutionnaires et subversifs de gauche que nous connaissons puisqu'ils récusaient avec véhémence les principes fondamentaux de la société d'alors. Comme les témoins de Jéhovah aujourd'hui, ils espéraient une fin du monde imminente. Finalement, les empereurs Constantin et Théodose font du christianisme une religion légale, puis obligatoire. Nos révoltés deviennent d'un seul coup des piliers de la société, entamant un virage à 180 degrés vers la droite et le conservatisme. Cette reconnaissance, cette intronisation sont capitales : on peut légitimement se demander ce qu'il serait advenu des chrétiens s'ils n'avaient pas obtenu le soutien total du pouvoir politique à ce moment crucial (tout comme on se demande aujourd'hui ce qu'il serait advenu du système bancaire américain sans l'énorme apport de fonds, prélevés sur les contribuables, du gouvernement de Barak Obama).Les chrétiens ont-ils alors refusé l'étreinte étouffante de l'empereur au nom de la sacro-sainte liberté ? Du tout ! La vérité, n'en déplaise aux catholiques libéraux, c'est que l'Eglise n'a jamais pu prospérer sans l'appui massif du pouvoir politique. Il suffit de voir sa pitoyable situation actuelle pour s'en convaincre. Donc, au commencement, après l'incarnation du Verbe, il y eut l'appui et la grâce du Prince : l'Eglise se fit chair institutionnelle. Nous allons pouvoir la contempler alors dans sa gloire de protégée unique du Prince, dans le sein de celui-ci, avant de la voir, quelques siècles plus tard, dans la gloire, encore plus grande, de mère et de directrice des rois et des empereurs. Peu après la chute de Constantinople, le pape Pie II écrira à Mehmed II une lettre lui promettant la couronne impériale--à condition de reconnaître son autorité et d'embrasser le catholicisme.Une telle puissance, la puissance--sans doute plus revendiquée qu'effective--de l'Eglise des Innocent, des Grégoire, des Boniface, s'explique par le grand cataclysme que fut l'effondrement de l'empire romain d'Occident. Dans le vide ainsi créé, l'Eglise s'est installée, avec ses évêques, ses moines bénédictins, suivis plus tard par les disciples de Bernard de Clairvaux. C'est eux qui sauveront l'Europe du chaos et maintiendront vivante la flamme et de la foi et de la civilisation (ce dont on ne peut que se réjouir). C'est alors que commence la lutte qui intéresse notre historien. Malheureusement, cette lutte n'est pas du tout celle qu'il dépeint : un effort inlassable et héroïque des clercs pour se dégager des tentacules du politique. L'histoire montre que c'est l'inverse qui est vrai : l'Eglise avait dans beaucoup de cas pris la place de l'Etat (ou ce qui en tenait lieu, puisque l'Etat tel que nous le connaissons n'a commencé que très tard son existence en Europe); elle était omniprésente, et ses évêques avaient des pouvoirs étendus dans le domaine temporel, ne serait-ce que parce qu'ils étaient les seuls, en tant que clercs, à avoir reçu une instruction. Ils sont juges, conseillers des rois, propriétaires d'édifices et de terres, parfois même princes (un évêque dirige encore de nos jours la principauté d'Andorre,dans les Pyrénées, conjointement avec le président français). D'où, bien sûr, l'intérêt de pouvoir les dominer : les rois veulent les régenter, le pape aussi. Quant aux intéressés, dans bien des cas, ils préféreraient rester autonomes aussi bien vis-à -vis de Rome que de Paris (ou Londres).La lutte revêt une triple dimension : il y a d'abord une lente et tenace reconquête du pouvoir par le politique à de multiples niveaux (rois, nobles, conseils municipaux); il y ensuite des tentatives d'autonomie vis-à -vis de Rome de la part de certains clergés locaux (le gallicanisme en est un exemple) ; il y a enfin un effort inlassable de la papauté pour s'imposer à la fois aux autres évêques et aux rois et empereurs--au nom de la primauté des choses de l'âme sur celles du corps, une thèse anthropologique qui se défend parfaitement. Le tout s'accompagne de luttes féroces contre les hérésies (songeons à la croisade contre les Albigeois) et contre les musulmans, lorsque ceux-ci empiètent sur les droits des chrétiens.Il existe assurément une lutte de l'Eglise pour son indépendance, mais celle-ci, contrairement à ce qu'affirme l'auteur, n'est nullement un geste d'hostilité à l'égard du politique, encore moins une volonté de laisser la société et son gouvernement libres de leurs mouvements. Au contraire, si l'Eglise veut être libre, c'est pour mieux intervenir dans les affaires du monde et le rendre ainsi conforme à la loi de Dieu (encore une fois, reportons-nous à l'analogie des rapports entre le corps et l'âme et à la fonction directrice de cette dernière pour saisir la nécessité de l'interventionnisme clérical). Ainsi, après la bataille d'Hastings en 1066, les soldats de Guillaume le Conquérant se voient astreints à de lourdes pénitences pour homicide. C'est le fameux pénitentiel d'Ermenfrid. Dans le domaine économique, on notera que l'Eglise a longtemps interdit le prêt à intérêt et défendu aux chrétiens le commerce de l'argent.Ce que l'Eglise recherche, ce n'est aucunement un monde libéral divisé en deux sphères indépendantes qui peuvent éventuellement négocier entre elles en tant que sujets libres, mais l'Unité, une unité qu'elle conçoit de façon organique, c'est-à -dire comme l'unité d'un corps dont les organes remplissent des fonctions différentes et qui possède naturellement une tête. La distinction des fonctions politique et spirituelle ne doit par conséquent en aucun cas être interprétée comme un parallélisme, mais comme l'expression de l'Unité. C'est que ne peut ou ne veut pas comprendre un libéral.La situation est donc bien complexe et très éloignée de la présentation simpliste et idéologique de Jean-François Chemain. Redisons-le : l'Eglise, jusqu'à une date très récente, n'a jamais songé à défendre une quelconque "laïcité". Le prétendre est une IMPOSTURE. Elle a voulu au contraire, à partir d'une position dominante donnée par le Christ lui-même, innerver profondément la société et encadrer le politique (souvenons-nous du cardinal de Richelieu ou du cardinal Wolsey en Angleterre). Le Moyen Age et même la Renaissance, l'Europe jusqu'à la Révolution française, c'est cela : une totale compénétration de l'Eglise, de la société et du pouvoir politique.C'est la fameuse théorie des deux glaives : le pape a deux glaives, un glaive spirituel et un glaive temporel, qu'il confie aux rois, qui doivent s'en servir selon ses instructions. Leur mission est purement négative : éliminer les hérétiques, les envahisseurs et les criminels. Si le diable n'existait pas, les princes n'auraient aucune raison d'être. L'Eglise catholique romaine a donc prêché une forme de théocratie (ce que les spécialistes appellent aussi la "hiérocratie"), jusqu'à ce que les princes européens, s'organisant de mieux en mieux, s'enrichissant de plus en plus, l'ont spoliée, affaiblie et, finalement, gagnée à l'idéologie séculière et relativiste. En même temps, les masses s'en sont détachées. signe qui ne trompe pas, chaque fois que la séparation officielle advient, elle se produira d'ailleurs à l'initiative du politique et non de l'Eglise ! Ainsi, en 1905, lorsque la république maconnique française déclare la séparation de l'Eglise et de l'Etat, le pape Pie X la déclare nulle à perpétuité. Avant lui, Léon XIII avait déjà déclaré absurde la thèse selon laquelle les choses de l'Etat et de l'Eglise doivent être séparées. Pie X démolira la théorie libérale de l'Etat neutre dans ses encycliques contre le modernisme. Certes, le deuxième concile du Vatican reviendra sur tout cela, et aujourd'hui c'est l'Eglise qui lutte pour la séparation. C'est tout simplement que le modernisme a triomphé. Mais qu'est-ce que l'Eglise du concile de Vatican II, l'église de Maritain et de Congar, par rapport à toute l'Eglise, celle d'Augustin d'Hippone ou de Thomas d'Aquin ? Monsieur Chemain prend l'Eglise moderne pour l'Eglise éternelle !N'oublions pas aussi, au moment où l'on essaye d'opposer à tout prix l'islam et le christianisme, que pendant que la papauté préconisait la théocratie en Occident, l'Orient chrétien, à Byzance, pratiquait le césaro-papisme. Celui-ci est d'alleurs toujours pratiqué au Royaume-Uni, où le monarque est aussi le chef de l'Eglise. Par conséquent, le fossé entre l'islam et le christianisme, en ce qui concerne les rapports avec la politique, est bien moins grand qu'on ne le croit. Ce qui a creusé le fossé dans ce domaine, c'est la pensée libérale, qui a infesté le christianisme, et non je ne sais quelle doctrine chrétienne de séparation des pouvoirs selon la parole (mal interprétée) de Jésus-Christ sur l'impôt à verser à César. Que la pensée libérale ait puisé certaines de ses idées dans le christianisme est une autre question.Concernant l'apostasie et l'observance du jeûne, domaines que l'on aime citer pour mettre en exergue un prétendu extrémisme musulman, j'aimerais signaler que la première entraînait la mort sociale dans la chrétienté traditionnelle et entraîne toujours aujourd'hui, au moins en théorie, l'excommunication automatique. Concernant le jeûne, je lisais récemment que Henry Howard, comte de Surrey, fut accusé d'avoir mangé de la viande durant le carême de 1543, ce qui était passible d'incarcération. Cela se passait sous le règne d'Henry VIII. On voit donc, encore une fois, que la pratique du christianisme triomphant n'est pas tellement différente de celle de l'islam.Je recommande à ceux qui veulent s'informer sur la monarchie papale dans le détail deux ouvrages en anglais : "The Growth of Papal Government in the Middle Ages" de Walter Ullmann, une monographie pour les spécialistes, et un ouvrage plus accessible et plus général : "Western Society and the Church in the Middle Ages" de Richard Southern. Ces deux livres sont disponibles sur Amazon.
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