Téléchargement PDF Le monde d'hier : Souvenirs d'un européen, by Stefan Zweig
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Le monde d'hier : Souvenirs d'un européen, by Stefan Zweig
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Détails sur le produit
Poche: 506 pages
Editeur : Librairie Générale Française (1 novembre 1996)
Collection : Le Livre de Poche
Langue : Français
ISBN-10: 2253140406
ISBN-13: 978-2253140405
Dimensions du produit:
11,4 x 2,5 x 17,1 cm
Moyenne des commentaires client :
4.7 étoiles sur 5
82 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
33 en Livres anglais et étrangers (Voir les 100 premiers en Livres anglais et étrangers)
J’hésite à poster un 69 ème commentaire, mais ce livre m’a trop secoué pour n’en pas parler.Le sous-titre « Souvenirs d’un européen » est un résumé et un programme. En février 1942, exilé au Brésil avec sa seconde épouse, Stéphane Zweig a posté ce manuscrit la veille de leur double suicide. Commencé une dizaine d’années plus tôt, ce livre raconte sa vie, ses rencontres, ses ambitions pour une Europe pacifique et plus unie, bref, le monde qui fut le sien, et qui a été brisé par les deux conflits mondiaux.Monde de culture et d’un certain luxe, la notoriété venant. Très peu de souvenirs familiaux : ses femmes ne sont citées qu’une ou deux fois, et l’on ignore s’il eut un enfant.Zweig le romancier reste très apprécié, le biographe est encore un peu lu, le dramaturge n’est plus souvent joué (Volpone, parfois…), mais c’est dans ce livre qu’il a donné le plus de lui-même. Livre à déguster lentement, comme une bonne chose dont on sait que l’on n’en fait plus… Sa capacité d’analyse psychologique des individus (il fut ami de Freud), qui rend son œuvre littéraire passionnante, est utilisée ici à l’échelle des peuples. La description des deux montées à la guerre et de la fin des démocraties, dont il a été le témoin dans de nombreux pays, car il voyageait beaucoup, fait froid dans le dos. Puisse-t-on ne jamais revivre cela !Finalement, le suicide de Zweig montre, a contrario, qu’il ne faut jamais désespérer : le monde qu’il n’a pas connu, mais qu’il aurait pu connaître (il n’est mort qu’à 60 ans), fut celui de la construction européenne, avec notamment ce programme Erasmus d’éducation transnationale, qui porte le nom de son cher maître Erasme, à qui il a consacré l’une de ses nombreuses biographies.Ce livre m’a également donné envie d’aborder des auteurs que Zweig a appréciés, voire côtoyés, que l’on cite souvent mais qu’on ne lit plus guère en vérité : Verhaeren, Whitman, Rilke, Rolland…Livre à lire absolument, et à conserver. J’espère qu’il est proposé aux lycéens et étudiants un peu partout en Europe.
Le Monde d’hier/Stefan Zweig (1881-1942)À la fin de sa vie, Stefan Zweig nous fait part de sa réflexion sur le monde de son enfance puis de son adolescence dans son Autriche natale qu’il aime plus que tout, lui l’européen de cÅ“ur.C’était alors l’âge d’or de la sécurité dans tous les domaines pour lui issu de la petite bourgeoisie juive de Vienne et pour un grand nombre de ses concitoyens.Vienne était alors une ville jouisseuse, baignée de culture, de « cette culture qui consiste à extraire de la matière brute de l’existence, par les séductions flatteuses de l’art et de l’amour, ce qu’elle recèle de plus fin, de plus tendre et de plus subtil. »L’école du siècle passé fut un calvaire pour le jeune Stefan qui était épris de liberté et d’espace. Heureusement s’écartant des chemins rectilignes de l’enseignement académique, il découvre les écrivains, les poètes, les artistes et les musiciens avec ses amis et commence à écrire ses premières poésies. Ses idoles ont nom Rilke et Hofmannstahl, Mahler et Schoenberg, Verhaeren et Romain Rolland.Une mention particulière pour Théodore Herzl, l’auteur de « L’État Juif », avec qui il fut très lié sans jamais adhérer à se idées. Zweig est libre penseur dans tous les domaines et toute idéologie le fait fuir.Zweig va assister à l’émancipation de la femme dans cette Autriche si attachée à ses antiques préceptes, à la naissance de la psychanalyse de Freud, le culte du corps dans le sport et l’indépendance de la jeunesse. La relation entre les sexes va prendre un tout autre aspect. Alors que jusqu’à la fin du XIX é siècle, la prostitution demeurait le fondement de la vie érotique en dehors du mariage, on assiste à une libéralisation des mÅ“urs dans la première décennie du XXé .Plus avant dans son témoignage, Zweig nous décrit très finement l’ambiance qui régnait en Autriche juste avant la Première Guerre mondiale, puis durant la Guerre elle-même et enfin après les derniers combats laissant une Autriche dévastée et dans une misère inouïe.Zweig nous parle aussi de ses travaux d’écriture et nous explique comment il conçoit la littérature :« Je ne prends jamais le parti des prétendus héros, mais vois toujours le tragique dans le vaincu. Dans mes nouvelles, c’est toujours celui qui succombe au destin qui m’attire, dans mes biographies, le personnage qui l’emporte non pas dans l’espace réel du succès, mais uniquement au sens moral. »Et plus loin : « Je suis un lecteur impatient et plein de fougue. Toutes les redondances, toutes les mollesses, tout ce qui est vague, indistinct et peu clair, tout ce qui est superflu et retarde le mouvement dans un roman, dans une biographie ou une discussion d’idées m’irrite. »Zweig le modeste, le grand voyageur, immense collectionneur d’autographes de toutes sortes : « En échange des ouvrages que j’avais écrits, assez éphémères si on les considère d’un point de vue un peu élevé, je pouvais acquérir les manuscrits d’œuvres impérissables, des manuscrits de Mozart, de Bach et de Beethoven, de Goethe et de Balzac. »Les années passent et nous arrivons en 1933 et l’arrivée de Hitler à la chancellerie en Allemagne et la montée du fascisme en Autriche. Zweig songe au passé et à toutes les amitiés qu’il a cultivées et à cette liberté qu’il a toujours chérie et qui est à présent menacée :« Je m’étais acquis l’amitié de nombre des meilleurs de notre temps, j’avais joui des représentations théâtrales les plus parfaites, il m’avait été donné de voir et de goûter les villes éternelles, les tableaux immortels, les plus beaux paysages. J’étais demeuré libre, indépendant de tout emploi et de toute profession, mon travail était ma joie et plus encore, il avait donné la joie à d’autres…Mais ma pensée ne fut même pas effleurée que je serais un jour sans patrie, que chassé, traqué, banni, j’aurais de nouveau à errer de pays en pays, à traverser des mers et des mers ; que mes livres seraient brûlés, interdits, proscrits ; que mon nom serait mis au pilori en Allemagne comme celui d’un criminel… »Zweig considère avec nostalgie le déclin des libertés, comme celle de circuler et voyager.« Avant 1914, la terre avait appartenu à tous les hommes. Chacun allait où il voulait et y demeurait aussi longtemps qu’il lui plaisait…Avant 1914, je voyageais en Inde et en Amérique sans posséder de passeport… » Songeant à la montée de l’hitlérisme, Zweig pense que « rien n ‘a tant aveuglé les intellectuels allemands que l’orgueil de leur culture, en les engageant à ne voir en Hitler que l‘agitateur des brasseries… »Et puis il y aura l’Anschluss puis l’invasion de la Pologne et la déclaration de guerre : la nuit tombe sur l’Europe qui voit l’agonie de la paix, une nuit de cendres et de mort, de sang et de douleur. C’est ici que se termine ce bouleversant témoignage d’un homme européen dans l’âme mais qui au dernier moment s’écrie :« Qu’est devenue ma patrie, mon Autriche que j’aime tant ? », lui qui n’a plus de patrie, et va errer,( il ne le dit pas, mais on le sait) jusqu’au Brésil , sa terre d’accueil.Un témoignage d’une grande richesse qu’il faut avoir lu.
Que n'avons-nous de tels intellectuels aujourd'hui... Ami de tous les grands auteurs et musiciens de son temps, Stefan Zweig saura demeurer libre de ses convictions et de ses choix au risque de s'éloigner de nombre de ses amis qui soutiendront le patriotisme de l'Autriche au début de la première guerre mondiale ou de ceux qui rejoindront la cause communiste sans la nuancer ou d'autres encore qui ne condamneront pas sans ambiguité la montée du nazisme. Pour autant, Stefan Zweig n'est ni sans générosité et courage ni sans idéal, bien au contraire: il est capable d'écrire personnellement à Mussolini pour réclamer la bienveillance du Duce à l'égard d'un prisonnier qu'il ne connaît même pas et son idéal est toujours d'actualité : l'Europe, cette Europe qui devrait s'éveiller pour s'opposer aux nationalismes et aux guerres et qu'il voit par deux fois se déchirer de manière atroce. Et quelle écriture aussi! toujours limpide même lorsqu'il expose la complexité des choses. Bref, ce livre est une pure merveille et toujours d'actualité. On rêve d' 'Un monde d'aujourd'hui' écrit avec autant de profondeur. Mais qui en est capable, car le prix à payer pour autant de convictions passionnées et tant de fois déçues fut quand même un suicide.
Zweig est un humaniste très cultivé, très subtil, un peu dépressif, surtout sur la fin, mais avec quelques raisons de l’être et sans apitoiement sur son sort. Il finira par se suicider avec sa femme en exil au Brésil en 1942. Ce livre est son chant du cygne, le résumé de toute sa vie qui fut marquée par deux guerres mondiales. Si la première lui a paru brutale, la deuxième l’a largement emporté en horreur. Né dans un monde gai, facile et qui semblait devoir durer éternellement, il a perdu tout ce qu’il aimait et il le raconte longuement, sans se plaindre, sans trop en faire dans la nostalgie ni exagérer dans le pathos. C’est touchant, c’est riche d’enseignements, c’est un très grand et très beau livre.
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